Les préoccupations de nombreux Français se sont vues bouleversées du tout au tout dans ces derniers mois. Entre le développement grandissant d’une conscience écologique, beaucoup réalisent que plusieurs aspects de leur vie doivent être modifiés. En prime, la crise sanitaire a forcé à une introspection et un confinement chez soi. L’occasion de mettre son habitation aux normes vertes, en se tournant vers un prêt à la consommation.
Les crédits conso pour la rénovation énergétique
Dans les dernières années, le gouvernement français et l’ensemble de l’opinion publique se sont investis dans la crise environnementale. L’urgence climatique a mené à de nombreuses consultations, entre sommets des états, mais aussi à l’échelle des citoyens.
C’est d’ailleurs une consultation citoyenne qui pousse le gouvernement français à mettre en place certaines législations vertes. Parmi elles, l’interdiction d’utiliser du fioul, par exemple ou la suppression des chaudières à gaz des nouvelles constructions.
Avec le développement de ces nouvelles lois et prérequis autour du bâtiment, les Français ont parfois été amenés à repenser leur propre habitation. Ça a notamment pu être le cas avec l’implémentation du nouveau diagnostic de performances énergétiques à l’été 2021. Selon les nouvelles classifications, plusieurs milliers de logements basculaient à présent en F et G, soit de véritables passoires thermiques.
De nombreux ménages n’ont alors pas hésité à opter pour un prêt à la consommation afin d’entamer des travaux de rénovation énergétique. C’est une tendance vérifiée tout au long du confinement, par exemple, par des experts financiers. Les prêts à la consommation, après tout, sont particulièrement adaptés au financement de ce type de projet.
Pourquoi demander un prêt à la consommation ?
Un prêt de ce type peut se demander sur différentes plateformes et être donné par plusieurs organismes. Des banques traditionnelles aux nouveaux acteurs en ligne, tels que les néobanques et fintech en fort développement, plusieurs opportunités s’offrent aux consommateurs. Ces derniers peuvent s’orienter vers des comparateurs spécialisés, tels que https://www.pret-a-la-consommation.com, afin de choisir le prêt le plus adapté à leurs besoins et leur profil.
La sélection du prêt à la consommation dépendra, en effet, de la hauteur de l’emprunt nécessaire, du type de contrat souhaité et donc des taux que propose l’organisme. Compris entre 200 et 75 000 euros, remboursables entre 3 mois et 5 ans, ces contrats se déclinent en prêt affecté ou personnel. Le premier sera lié à un achat particulier, dépendant d’une facture et d’une transaction spécifique. Le second n’est dépendant d’aucune dépense précise et s’obtient sans justificatifs d’achats.
Les deux formats s’adaptent à un prêt pour rénovation énergétique. Avec un prêt affecté, il peut être question donc de couvrir exactement le devis des travaux à réaliser. Il sera donc dépendant de cette réalisation et du devis transmis. Autrement, le prêt personnel permet de multiplier son approche écologique. C’est un budget qui peut être construit de soi-même, en cumulant divers projets de travaux ou encore l’acquisition d’un vélo électrique. La voiture électrique, de même, entrera dans les plans d’un prêt à la consommation, puisque le prêt auto en fait partie.
Les organismes misent sur le crédit à prime « écologique »
Les services d’emprunts ont bien compris cet engouement pour l’écologique des consommateurs, n’hésitant pas à proposer des offres particulières. La rentrée 2021, tout particulièrement, a vu le développement de nouvelles offres à prime écologique. Cela s’appuie sur le nombre de demandes pour des prêts couvrant des travaux énergétiques réalisés en 2020. Les organismes misent ainsi à grande échelle sur l’écologie pour relancer l’économie et le secteur du prêt.
Ces primes écologiques s’organisent de différentes manières selon les organismes qui les proposent. L’idée, de manière générale, est de proposer un crédit avec un taux annuel effectif global (TAEG) avantageux dans certaines circonstances. Ce bénéfique s’applique particulièrement sur les prêts qui sont accordés en faveur d’investissement écologique. Cela se traduit tant par l’achat d’un véhicule considéré vert ou des travaux énergétiques. Les voitures et vélos électriques, donc, profitent alors d’un prêt à la consommation au meilleur taux. Il peut ainsi se coupler aux aides financières à la transition écologique.
Une fois encore, avoir recours aux services d’un comparateur pour identifier les différentes offres à la prime écologique sera un moyen efficace d’effectuer la meilleure demande. Les organismes différencient, en effet, leur prime selon la hauteur du prêt demandé et la nature spécifique du projet, par exemple. Il sera possible d’obtenir jusqu’à 10 % de bonus sur son TAEG, par exemple, chez certaines banques, pour des prêts à durée précise et au montant supérieur à 5 000 euros.
Moins de crédits attribués dans une économie ralentie
Sans surprise, le développement de ces primes écologiques a pour volonté de redynamiser le secteur financier. Cela, bien que les prêts personnels aient réussi à garder un certain attrait en 2020. L’économie française, en effet, a bien ralenti à cause des confinements et de la fermeture des boutiques, ce malgré l’achat en ligne. Les Français sont plus frileux avec leurs dépenses. Quand ils en réalisent, alors, c’est avec une véritable envie de placer leur épargne. L’écologie, donc, plus que la consommation rapide, est une valeur sûre.
En effet, les spécialistes de l’économie ne s’attendent pas à un boom spectaculaire des ventes et des achats. Les Français n’iront probablement pas se tourner vers un prêt à la consommation, tels que des mini-prêts, pour participer à un système d’achats revanche. C’est un processus qui s’est observé dans certains pays, comme la Chine, où les achats ont redoublé d’ampleur à l’allègement des restrictions sanitaires. En France, la tendance sera donc davantage au durable, avec des prêts consommations ayant du sens.